Mallarmé les distingue dans sa comparaison du concert et de la messe considérés comme des offices. La messe est un office religieux. Le concert manifeste une religiosité et pas seulement une esthétique. Certes, la foule qui compose le public du concert est "gardienne du mystère ! le sien !" (Plaisir sacré). Mais ce public est une foule parce qu'il se compose de spectateurs ou d'amateurs et non de participants : en revanche, "la nef avec un peuple je ne parle pas d'assistants, bien d'élus (...) (De même).